La Presse en parle

Arts et poésies pour grands et petits (Idron 64) Association Acomartistes

«…Près du ruisseau (l’Ousse), le soir venu, le public a pu vivre dans le parc du château un moment magique avec le spectacle d’Anne-Marie Charles qui a su emmener petits et grands dans son monde féérique. Un moment d’une infinie poésie, où l’émotion était au rendez-vous….»

La République
27 juillet 2018
Les rendez-vous Singuliers (31)

St Felix de Lauragais, village chargé d’histoire où se trouve le point de partage des eaux entre l’est et l’ouest se devait de recevoir la fée des eaux « La Margoulette ». Elle est venue, entre autre, rappeler au public de ce festival combien l’eau jadis avait été « l’actrice principale » de cette contrée, qui, après une déforestation comptant parmi les plus importantes de France, est devenue une région céréalière.

Association la vieille Poste
13 juin 2015
Nouveau théâtre de la Vidalbade (81)

Merci pour cette heure magique : nous avons admiré la construction de votre spectacle, la manière dont les contes s’enchaînaient, les sons, les musiques, les surprises de mise en scène et l’apparition/disparition dans les frondaisons…Ces moments de grâce, résultats d’un travail et d’une pensée, réconcilient avec l’humanité et la vie, donnent la pêche.

Anne (Spectatrice)
17 août 2014
Fête de la vie à St Grégoire (81)

Un look d’enfer qui colle parfaitement avec le personnage et une voix que je n’ose même pas qualifier…

Nous avons été emportés petits et grands dans un univers féérique, ton univers

; à l’issue de la prestation, les

regards n’étaient plus les mêmes. Un grand moment d’enfance, de poésie et en plus il y a des messages. Merci

pour ce que vous nous avez donné.

Maud (Spectatrice)
13 septembre 2013
Aufil de l’eau… et des fontaines

L’association Gens de la fontaine a organisé, en partenariat avec la Communauté de communes du canton de Lembeye,la commune de Moncaup et Veolia, le spectacle de contes théâtral et musical d’Anne-Marie Charles.
Sur le thème de l’eau, Anne-Marie Charles (La Margoulette) propose une aventure fantastique, narrant, jouant du bérimbau, du mirliton et de la guimbarde et chantant d’une très belle voix.
La Margoulette invite le public à participer au bon déroulement des histoires par des énumérations ou des chansons, dans son spectacle qui intègre des valeurs liées à l’environnement, l’écologie, le développement durable, et l’un de ses principaux facteurs : l’eau. pour la préservation de la planète et de ses habitants !

Sud-Ouest
18 juin 2012
Les Journées de la Nature dans le Morbihan

Le lavoir de Gestel (magnifiquement restauré) est devenu pour ces Journées de la Nature un espace magique où est apparu la fée des Eaux la Margoulette. Sa voix envoutante, tant dans ses chants que dans ses histoires, a la fluidité de l’eau. La Margoulette emporte les spectateurs complices dans ses ondes…

Le Télégramme
Juin 2011
Festival de l’Eau

Pour son Festival de l’Eau, la ville de Saint Amand les Eaux se devait d’accueillir une fée des Eaux.
C’est chose faite! Durant ces journées de festivités dans le jardin de l’Echevinage grâce à une formule magique proclamée en choeur par le public La Margoulette, petite fille de la fée Mélusine, est apparue. Elle nous a offert des chants et des histoires sur le thème de l’eau, et un message pour les petits et les grands : si vous aimez et respectez l’Eau, sachez qu’elle vous le rendra.
Anne-Marie Charles (comédienne-chanteuse) est très à son aise dans ce rapport direct et de proximité avec le public, qu’elle a enchanté : Comment avez-vous fait pour dénicher cette perle rare ? ont demandé certains spectateurs aux bénévoles du festival.

La Voix du Nord
Juin 2010
Tournée aux Pays Bas pour l’Alliance française

«Le spectacle Aufildel’eau, ce sont des contes joués qui nous rendent attentifs à la valeur de l’eau, mais c’est surtout une actrice-conteuse qui par son jeu, ses mimiques, ses mouvements, ses voix et les sons de ses

instruments nous prend par la main, comme des enfants, pour écouter et voir tout ce qui s’agitent au bord de la rivière… comme dans notre vie. Le public chante, écoute, joue le jeu et retrouve, l’espace d’une heure, une âme d’enfant».

Evelyne Turk (responsable Programmation)
Janvier 2009
Itinéraire des mots bis

Dans le cadre de la tournée Itinéraire des mots bis organisée par le Conseil Général des Landes et la médiathèque départementale : grands et petits ont rêvé Aufildel’eau durant une heure enchantée…
Des histoires simples, drôles ou émouvantes bénéficient du jeu lyrique et énergique de leur interprète. La Margoulette a charmé l’assistance et a réussi à transmettre le message voulu : la sauvegarde de l’Eau, élément primordial de l’environnement.

Sud-Ouest
Novembre 2008
Jeux et écocitoyenneté

Dans les marais du Prés du Hem vit une fée, appelez-la avec moi souffle Olivier Chavaete (Direction des affaires culturelles) au public assis en ce début de matinée, dans la salle de la base de loisir de la ville d’Armentières. La fée Margoulette arrive en chantant, entraînant dès les premiers refrains ses spectateurs dans le monde magique qui se trouve au fil de l’eau : elle les fait chanter A la claire fontaine, Sur le pont d’Avignon…

Anne-Marie Charles comédienne et chanteuse s’exprime sans micro : un contact direct avec le public médusé.
Les enfants sortent l’esprit conquis par ce monde de la nature où Margoulette les a préparés à découvrir la grenouille, la souris verte…

La Voix du Nord
Mai 2007
Vous rendez non seulement un très bel hommage; mais par dessus tout, votre travail artistique redonne une force nouvelle au témoignage qu’elle souhaitait transmettre à chacun de ses concitoyens.

Je suis tombée par hasard rue du Taur sur l’affiche annonçant Le monde à l’envers, mais rien n’est jamais hasard n’est ce pas… Le nom d’Eva Joly a attiré mon regard, ayant lu il y a quelques années ses deux livres témoignant de son combat; je n’y étais pas restée insensible, ses livres avaient durablement marqué mon esprit d’ancienne étudiante en droit qui se destinait à la magistrature. J’étais dès mercredi très impatiente de connaître votre travail et votre ressenti artistique sur un témoignage aussi fort.
Je n’ai pas été déçue! Vos deux voix, la sobriété de la mise en scène, la liberté et l’originalité de l’accompagnement musical à la contrebasse sont un magnifique écrin qui met en valeur le message fort que nous a laissé Eva Joly. Message d’une démocratie en péril déjà vérolée par le fléau de la corruption des élites. Votre travail rend parfaitement toute la palette des émotions et âpreté de la solitude de ce juge d’instruction durant ce combat mené pour respecter tout simplement la fidélité au serment prêté le jour où elle est devenue magistrate.
Mais votre travail ne s’arrête pas là, porté par vos voix, le message d’Eva Joly continue de s’adresser librement à la conscience des citoyens que nous sommes. Il est dommage qu’elle ne connaisse pas votre travail, je suis sûre que cela la toucherait et lui montrerait qu’effectivement elle a eu raison, on ne gagne jamais à être faible et que le combat qu’elle a mené seule (et chèrement payé humainement) a réveillé bien des consciences et semé des lueurs d’espoir pour demain.
La vérité n’intéresse personne… Détrompez-vous Madame Joly, sa recherche est ce que nous avons de plus précieux et de plus rare, le seul élan vital capable de transformer ce monde.

Nathalie Desmoulin

Le spectacle Le monde à l’envers est tiré du livre d’Eva Joly sur l’affaire Elf Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre accompagné de poèmes de Louisa Paulin, chantés et mis en musique.
Les deux femmes nous proposent une approche sensible du vécu d’Eva Joly pendant l’instruction de l’affaire Elf. Le déroulement de ce scandale se dévoile progressivement à travers le ressenti intime de la juge: la part humaine et affective de l’affaire est bien retranscrite derrière les dossiers et les procédures formelles.

Le texte a été choisi afin de bien discerner les différentes étapes chronologiques de l’affaire, en parallèle avec les divers moyens utilisés pour déstabiliser la magistrate – peur, désinformation, culpabilisation… Le public ressent intensément la peur et le cauchemar qu’a traversé Eva Joly pendant 7 ans et l’énergie qu’elle a dû déployer pour mener à bien son enquête malgré les innombrables obstacles mis en travers de son chemin. Le spectateur découvre petit à petit la face cachée de l’iceberg, ce qui fait prendre conscience des difficultés de s’attaquer à un réseau aussi influent et de la complexité à démêler les rouages d’une affaire si bien protégée.

Les séquences sèches de réalisme sur l’affaire sont entrecoupées d’interludes musicaux et poétiques liés au fil de l’histoire, qui rythment le spectacle et permettent ainsi de faire retomber la pression incontournable. Les effets musicaux à la contrebasse s’inscrivent parfaitement dans l’esprit du spectacle et apportent indéniablement une dimension supplémentaire.

Ce spectacle peut être joué dans de petites salles sans amplification et convient tout aussi bien aux adolescents à partir de 16 ans. A notre avis, il mérite grandement d’être présenté à un large public avec la coopération de Survie, il est accessible à tous car c’est une femme qui parle de son histoire personnelle. Il est un bon stimuli pour le public pour ouvrir la discussion sur l’affaire Elf, la délinquance en col blanc…

Association Survie
Une vision sous-marine

Vision sous-marine de l’affaire Elf, loin des tapages des médias et parfois de leurs étranges silences. Plongée dans l’intimité de la juge Eva Joly qui passa 8 années à instruite l’affaire Elf avec pour seul désir de combattre l’impunité et de rendre la justice et qui a dû, par sa détermination à instruire cette affaire, faire face à ces personnes d’influence qui n’hésitent pas à détourner, à accommoder les lois à leurs seuls profits et qui par leur pouvoir et leur mépris des lois, ont entravé dans cette affaire la juge et donc la justice, allant jusqu’à user de menaces et de toutes les bassesses imaginables.
Anne Marie Charles n’interprète pas Eva Joly. Sa voix belle et posée, sa diction calme et froide, nous amènent dans l’intimité de la vie qui fut celle de cette juge qui, durant l’instruction de l’affaire Elf, connut les débuts classiques de l’instruction d’une affaire parmi d’autres, et qui au fil de son enquête, rencontra entraves, machinations par médias interposés avides et manipulés, pressions indirectes et directes, faits d’hommes d’influence lui imposant jusqu’à une protection rapprochée par sécurité pour sa propre vie.

Théâtre du Grand Rond
Le monde à l’envers : lettre ouverte aux citoyens
[…]Un message qui pourrait être lu en forme de “lettre” pour émouvoir les citoyens que nous sommes et nous interroger: Est-ce dans ce monde là que nous voulons vivre ?[…] […]Par une mise en scène soignée et des éclairages feutrés, le spectateur est immédiatement capté par l’intrigue.[…] Un monde parallèle où une élite revendique l’impunité en s’affichant au dessus des lois.[…] […]En interprétant cette juge hors du commun, Anne Marie Charles donne à la parole du magistrat toute

l’intensité et l’émotion nécessaires à ce rôle. […] […]Beau duo de voix, servi avec élégance par le son omniprésent de la contrebasse d’Hélène Sage. Les interludes musicaux, d’après les poèmes de Louisa Paulin, sont autant de ponctuations poétiques salvatrices, face à la force du récit et la puissance du combat.[…]

La Dépêche du Midi
Octobre 2007
La juge connaît la musique

Une contrebasse rythme le souffle du récit et accompagne l’écriture presque automatique d’une femme isolée derrière son pupitre.
Dans la peau de la juge d’instruction Eva Joly, la comédienne Anne Marie Charles prend soin de dire consciencieusement chaque mot d’un texte écrit dans l’urgence. Celle de faire la vérité sur une affaire politico-financière qui a contraint son auteur â vivre une liberté surveillée.
Le monde à l’envers, (…) est la parole d’une femme traquée mais déterminée. Un combat pour la justice mené avec courage, malgré les menaces, par Eva Joly qui instruisit l’affaire Elf dont elle raconte les difficultés de la procédure dans Est ce dans ce monde là que nous voulons vivre?.
En s’inspirant de cette œuvre biographique, les deux protagonistes de la pièce renforcent la théâtralité en entrecoupant le récit de poèmes de la Tarnaise Louisa Paulin, mis en musique et interprétés souvent avec originalité par Hélène Sage. (…)
une volonté commune de rendre hommage à deux voix qui s’élèvent contre l’injustice.

Sud-Ouest
Janvier 2007

Les pieds nus, cette chanteuse-poétesse interprète ses chansons servie par un trio de musiciens multi- instrumentistes qui donne aux textes d’Anne Marie Charles toute leur puissance.
L’accompagnement oscille entre jazz et chanson française. Les textes parlent de l’amour sous toutes ses formes : une farandole virevoltante de mots et d’émotions à l’image de cette artiste qui danse sur scène. Sa voix capable d’aller chercher des sons très aigus vient aussi prendre les spectateurs aux tripes et ainsi transporter les esprits dans un florilège de sensations. Un cri d’amour cinglant.

La Dépêche
Mars 2007

Chanteuse aux pieds nus, sur scène, Anne-Marie Charles ne dévoile pas que ses petits petons, mais aussi sa sensibilité.
Paul Eluard ou Louise Labbé se sont certainement penchés sur son berceau, pour que cette enfant devenue grande leur rende un jour hommage.

Portés par une voix inclassable, qui oscille du grave au très aigu, les textes de la poétesse – chanteuse sont pleins de sensibilité et d’humour. Ils parlent de l’amour et de ces aléas, mais aussi de la guerre.
Parfois hardie, sa joie de vivre reste néanmoins toujours raffinée. Comme savent l’être certaines femmes. Et en vraie amoureuse de notre langue, elle joue avec les mots, comme on jongle. Un vrai feu d’artifice. Le jeu de scène est sobre, mais vivant et efficace. Et lorsqu’elle enjoint le public, à la suivre, il répond forcément présent.

Mais, Anne-Marie Charles n’est pas qu’une voix, c’est une musique aussi, et deux musiciens. Ces derniers ne cèdent en rien à la facilité, et distillent une musique définitivement contemporaine, et jazz. Tantôt au xylophone, aux triangles, ou à la batterie pour le premier, quand le second se partage entre accordéon et guitare. L’accompagnement est d’excellente qualité, avouant une complicité certaine entre les trois compères.

Bref, ce fut un moment à part, deux parenthèses dans une existence parfois trop réaliste. De l’amour ce samedi, il y en a eu, de la chanteuse au public, qui le lui a bien rendu. Un moment qu’il ne fallait pas rater.

La Semaine
Février 2007

Avec une voie inclassable parce qu’habile à passer d’un registre à l’autre, d’un jazz ferme à une vocalise aiguë et veloutée, l’artiste utilise sa voix comme on joue d’un instrument, entre notes et mots, capable d’explorer le répertoire lyrique comme celui de l’improvisation du théâtre musical et de la comédie. L’émotion est toujours convoquée, ponctuée d’humour en guise d’abondante respiration. Avec une sensibilité élargie à de nombreux thèmes,l’amour bien sûr, mais aussi le terrorisme, la guerre ou encore l’enfance, Anne Marie Charles et ses complices poètes et musiciens installent un univers de mots qui chantent, touchent et réfléchissent les émotions de chacun.

La Dépêche du Midi
Mars 2006
Chanson à texte en duo pour une soirée intimiste

Ceux qui avaient envie de s’évader, samedi soir, ont pu bénéficier d’un aller-retour au pays de la chanson à texte. À l’Agora, petite salle conviviale de Lavaur, se produisaient sur scène Anne-Marie Charles et le guitariste et accordéoniste Jean-François Capou. Un duo complice qui, quand ils ne regardent pas le public, échangent des clins d’œil de compères.

Ses vocalises portaient en elles toute une gamme d’émotions: Anne-Marie Charles a une voix qui peut passer avec aisance d’un registre à un autre. À la fois jazzy et veloutée, elle peut tout d’un coup nous surprendre et nous suspendre au son d’une note aiguë jusque-là insoupçonnée. Quelques a capella donnaient même des frissons, tant elle aime à jouer avec sa voix comme elle joue avec les mots.

Et les mots, dans sa bouche, semblent être autant de balles avec lesquelles elle sait jongler avec poésie et humour. De nombreux thèmes ont été évoqués dans ses chansons: le 21 septembre, le printemps, l’amour, la guerre… Tous avec une sensibilité à la fois très féminine et très lucide par rapport à la vie. Quand elle ne convoque pas Eluard, elle crée une atmosphère avec ses propres mots, ceux de l’enfance, de la vie.

Mais ce que l’on retiendra le plus, c’est son humour qui joue sur la surprise, les décalages, les rebondissements. Retenons, pour, l’exemple, un orgasme imité sur scène et ces quelques fragments de texte “une berceuse à la tronçonneuse”, “ton pâté de tête à claques”…
Quant à Jean-François Capou, il passe d’un instrument à l’autre avec élégance et discrétion, tout en accompagnant Anne-Marie dans ses envols. Un morceau très apprécié a été notamment celui où il répondait à Anne-Marie qui chantait tout en jouant de la guimbarde. Il y a du Linda Lemay sans l’accent chez cette artiste !

La Dépêche
Janvier 2003

Papa chantait du matin au soir. Enfant, j’ai pris cela comme respirer, manger, parler et marcher, confie Anne-Marie Charles. Marques d’amour, un bien beau titre qui augure bien de l’année qui débute.
Sur scène, Anne-Marie Charles est accompagnée par l’accordéon et la guitare de Jean-François Capou. Au fil des années, j’ai écrit des textes et leurs mélodies pour parler de l’amour et des ses aléas, dit-elle. Des chansons de guerre, des chansons d’amour, la guerre de l’amour, la guerre d’amour de l’amour, mon amour. Anne-Marie Charles joue avec les mots, les fait jongler, les apprivoise. Mélodie, sens, rythme et humour sont au rendez-vous de ces chansons.
L’artiste est une saltimbanque au registre impressionnant, aux multiples talents. Tour à tour actrice de théâtre, de cinéma, scénographe, et bien sûr chanteuse. Anne-Marie Charles anime notamment des ateliers d’expression dramatique pour enfants et adolescents. Elle peut se faire conteuse, mais aussi musicienne, en s’aidant pour ces récits d’instruments aussi simples que la guimbarde ou le mirliton. Elle est connue pour

la rigueur de son travail et son souci constant de la qualité.
Je suis une colporteuse… Enfouis dans ma mémoire, nourris de fragments de vies, des chants imaginaires résonnent, s’élèvent et s’épanouissent, Anne-Marie est amoureuse de la langue française, de ses subtilités.

La Dépêche
Janvier 2003